vendredi 23 novembre 2007

Les silences

Merci à vous tous pour vos veux et votre gentillesse.

Des hauts et des bas, disons que quand je parle c’est forcément que c’est en remontant.
Hier était une journée sans, je devais voir un spécialiste mais suis restée bloquée par l’absence totale de moyen de transport en commun. Cela a annulé aussi le dîner prévu avec un ami.

J’ai essayé d’utiliser la méthode « penser qu’il y a pire », surtout qu’en ce moment ça chauffe dans mon pays de cœur (regardez les infos) je ne vous la conseille pas, finalement c’est juste un art de détruire toute estime de soit.

Ma petite fille de 6 ans est triste et mal dans sa peau en ce moment, elle se sent « mal aimée » c’est lié bien sûr, mais je n’arrive pas à l’aider, ni son père qui est très fatigué aussi. Elle a besoin de famille élargie pour pallier, ou de sa marraine, de son parrain (celui du dîner) mais nous sommes loin…

Franchement, je n’aime pas ce concept de famille nodulaire je trouve que cela est trop fragile pour tous.

Bon, maintenant, j’arrête de tourner en rond, j’ai un article scientifique en souffrance, aller, hop !

4 commentaires:

  1. La famille nodulaire est vraiment le côté négatif de l'immigration : nous sommes heureux au Québec mais si loin de nos familles respectives. Pour la 1e fois cette année, la miss fêtera Noël une de ses GM (et pas seulement ses parents). Imagine l'ambiance ! Des tonnes de bisous.

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  2. Je me doutais bien que si on ne te voyait pas c'est que ça n'allait pas fort... pour ta fille, je sais pas quoi te dire, se faire aider, c'est la solution déjà, mais bon, il faut qu'elle veuille... Sinon tu ne peux pas l'envoyer un we dans de la famille, histoire qu'elle décompresse un peu ?
    bon courage.

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  3. Ma'cha a raison car les enfants apprécient aussi d'être ''en vacances de parents''.

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